Je tiens vivement à vous faire part de mon indignation et de ma décision de ne plus manger de viande de porc avant que je sois sûre que ces pratiques aient cessé.
Elisabeth Faoro, Grandvaux
Tant que l’homme ne considérera pas l’animal comme son égal, il y aura toujours des atrocités comme celle que vous avez décrite.
Barbara Jaton, par e-mail
Je suis clairement pour l’anesthésie lors de la castration des jeunes porcs et je paierais les 5 centimes par kilo. Pour le moment, appétit coupé!
Evelyne Delavy, Vouvry
Je milite pour que la castration à vif des porcelets soit très sévèrement punie par de la prison sans sursis.
F.-R. Gfeller, par e-mail
Il faudrait que la Confédération édicte des règles très strictes pour que tout élevage d’animaux se fasse de manière saine et sans souffrance.
Nadine Christen, par e-mail
A la télé, on peut zapper pour échapper à des images trop horribles. Avec la presse écrite, on a une autre approche.
Maryline Yanet, Grancy
Je pense que tant qu’il y aura des enfants malheureux en ce bas monde, les animaux doivent passer au deuxième plan.. Raoul Pastrana, par e-mail
L’étiquetage de la viande peut être une solution (en attendant mieux). Il devrait stipuler exactement la provenance et la façon dont l’animal a vécu afin que le consommateur puisse choisir.
Françoise Hirt, Carouge
La côte de porc que j’ai mangée à midi, m’est restée en travers de l’estomac en lisant un peu plus tard votre article. Pour l’augmentation du prix, pas de problème, le porc est une viande bon marché.
J. Delitroz, Cugy
Chaque fois que nous fermons les yeux, chaque fois que le porte-monnaie dirige nos achats vers des aliments de basse qualité, ce sera au détriment de la vie. Alors il faut accepter de payer plus pour une meilleure qualité.
Nicolas Zwick, par e-mail
S’il était possible de revenir à un monde haut en couleurs, avec des goûts véritables pour chaque aliment, nous aurions le sentiment d’un retour à la réalité, car pour le moment, nous vivons dans un monde d’illusions.
Anne-Dominique Genoud,
Esther Vandenweghe, par e-mail
Mauriac disait: «Surtout ne plus entendre les cris aigus des porcelets débarqués.» En lieu et place de «débarqués», je dirais «castrés».
Georgette Lambert-Brunner, Genève
Sommes-nous encore à l’âge de la pierre?
Catherine Pantet, Bogis-Bossey
Comment ces gens qui tiennent un porcelet entre leurs
bras et ces bourreaux qui manient la tenaille dorment-ils?
D. Ruffieux, Montherod
J’espère que votre article choquera encore beaucoup de lecteurs. Pourvu que les responsables réagissent par rapport à la clientèle scandalisée.
Danielle Racordon, par e-mail
Que pourrait-on faire à l’humain décideur pour qu’il ait une bonne odeur d’humanité?
Catherine Morandi, par e-mail
Il serait souhaitable qu’un référendum soit mis en place pour interdire cette pratique et obliger les pratiquants à utiliser la méthode développée par le vétérinaire Schatzmann. R. Cepaz, par e-mail
C’est vraiment le moment que la SPA intervienne!
B. Gianinazzi, Genève
Ceux qui mangent du porc doivent pourtant se douter que cette viande a un goût, comme le mouton ou le gibier.
Geneviève Picaut-Fosco, Genève
Une seule réponse: le boycott total. Et pourquoi ne pas devenir végétarien?
Sylviane Pralon, par e-mail
L’homme a toujours une excuse pour faire du mal à autrui, mais qu’en est-il de sa conscience?
Corinne Equey
En tant qu’éleveur, je suis ouvert à des solutions simples pour atténuer la douleur du porcelet lors des castrations, mais ne disproportionnons pas la réalité! Cette intervention, si elle est bien effectuée (et assez tôt) n’intervient qu’une seule fois et ne dure qu’une minute.
Luc Mayor, Grandcour
Mais quand donc une partie de l’humanité cessera-t-elle d’être aussi imbécile, mauvaise et néfaste, pour sans cesse falsifier et abîmer tout ce qui est naturel?
Geneviève de Marcy, Lausanne
Nous sommes à l’aube de l’an 2000! Il serait grand temps que chacun se batte pour un monde meilleur pour les animaux.
Elisabeth Savigny, Certoux
S’il est un principe d’éthique universel que personne ne saurait contester, à moins d’être franchement malsain (ce qui arrive malheureusement trop souvent), c’est celui stipulant que nul n’a le droit de faire souffrir consciemment et volontairement un être, quel qu’il soit et, a fortiori, un être plus faible que soi.
Jean-Claude Mévillot, Jongny
Jusqu’où la bêtise humaine va-t-elle encore aller dans l’unique but de satisfaire son palais?
Danièle Gostély, La Chaux-de-Fonds