A la suite d’une poignée de main trop vigoureuse de la part d’une collègue, une femme a subi plusieurs lésions au poignet et a déclaré l’événement comme accident à la SUVA, afin de bénéficier des prestations adéquates. Ladite assurance a refusé d’entrer en matière, arguant qu’il ne s’agissait pas d’un accident. Le Tribunal administratif cantonal, puis le Tribunal fédéral ont confirmé cette interprétation: bien que les conséquences de cette poignée de main soie...