La perception de la durée est subjective. Elle dépend d’abord du mental. Plus précisément, du ralentissement de l’activité cérébrale. Au fil des ans, la vitesse de diffusion des informations dans le cerveau ralentit, avec pour conséquence de provoquer l’illusion que le passage du temps s’accélère. Vient ensuite le ralentissement du métabolisme. En vieillissant, la respiration et les battements de cœur se font plus lents. Ce qui accentuerait aussi l’impression que ce qui ...