Signer un contrat d’assurance maladie dans une langue qu’on ne parle pas ou pas bien est pour le moins périlleux. Les mésaventures de Pedro Roncal sont là pour le rappeler. Cet ouvrier de langue maternelle espagnole, qui habite à Genève, souhaitait changer de caisse dans le but de baisser ses primes. Comme il maîtrise mal le français, le courtier de Supra, d’origine portugaise, a mené l’entretien en portugais et en espagnol. Les documents signés étaient en français