Suite à la publication d'un rapport très contesté de Swiss Medical Board (SMS), le dépistage du cancer du sein est, une fois encore, remis en cause. Ses auteurs demandent, en effet, la fin de ce genre de programmes, car il leur semble que les quelques vies ainsi sauvées (1 à 2 pour mille) ne suffisent pas à compenser les diagnostics erronés (4% de faux positifs).

Le quotidien Le Temps fait