Les randonneurs ont, pendant longtemps, opté pour la stratégie de la pelure d’oignon qui consistait à superposer les couches. Sur la peau, des sous-vêtements techniques évacuant la transpiration. Une jaquette polaire protège du froid et, enfin, par temps de pluie ou par grand vent, un blouson de tissu fin garde le corps au sec. Depuis quelques années, les vestes softshell remplacent ces deux dernières couches.

A en croire les étiquettes, ces vêtements high-tech sont idéau...