Ce devait être la parade à la fermeture annoncée des petites gares, considérées comme non rentables. Refusant cette «fatalité», une quinzaine de gérants se sont décidés à faire revivre ces espaces en y installant parfois une petite épicerie ou un café, tout en assurant la vente des billets et des abonnements de train. Mais l’avenir de ces commerces est à son tour menacé.

«Les CFF nous mettent le couteau sous la gorge», témoigne, en substance, Regula Fischer, géran...