C’est un peu comme si on sautait d’une crainte à l’autre. Un virus s’éloigne à peine qu’une inflation vient nous coller la chair de poule. Entre les effets retard de la pandémie et l’invasion de l’Ukraine, qui a précipité la hausse massive des coûts de l’énergie, on regarde le prix des biens de consommation monter de tous côtés. Perplexes. Sans toujours bien comprendre à quoi elles sont dues, ni si elles sont toujours aussi légitimes qu’on nous l’affirme.

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