Sabine Bocale n’a porté son collier Swarowski que quelques semaines avant que la chaînette ne se brise. Elle s’est alors rendue à la boutique lausannoise de la marque qui n’a pas daigné bouger le petit doigt: «Ils ont refusé d’envoyer le collier en réparation. Et la vendeuse a même acquiescé lorsque je lui ai demandé s’il ne me restait plus qu’à le jeter!» Notre lectrice ne s’est pas résignée pour autant. Elle a tenté sa chance à la bijouterie Christ, à Morges, ...