Estelle*, la cinquantaine, ne parvient pas à se remettre de son divorce. Lorsque l’agence matrimoniale Le Bonheur est au rendez-vous lui laisse entrevoir la possibilité de retrouver un partenaire, elle se laisse tenter: elle signe un contrat de trois ans, paie 500 fr. cash et contracte un emprunt à un taux d’intérêt de 10% pour le reste de la somme exigée (3000 fr.). Un an plus tard, la désillusion est totale. On ne lui a proposé que deux rencontres, qu’elle a écartées d...