Je vais chez la doctoresse Ludmila Moncilli depuis une dizaine d’années. Au fil du temps, nous avons établi une relation de confiance», témoigne Sandra Marthaler. «Lors de ma dernière consultation, au début de l’automne, elle m’a expliqué qu’elle ne pouvait pas m’examiner: elle n’accepte désormais plus les patientes pesant plus de 110 kilos, ce qui est mon cas.»

C’est lors de la dernière consultation de cette lectrice fribourgeoise, à la fin de 2019, que le fa...