Dans un lapin de Pâques, les oreilles constituent «le» morceau de choix. Car, outre le plaisir «d’assassiner» la friandise encore intacte en les prélevant, c’est là que le chocolat est le plus épais. En effet, il se concentre dans les attributs démesurés de l’animal emblématique des fêtes pascales lors du processus de fabrication industriel: «Une dose précise de chocolat liquide est déposée dans la première moitié du moule, explique Gérard Quera, maître chocolatier c...