«Pourquoi autant de wagons de 1re classe vides et si peu de 2e classe?» s’indigne un usager des CFF sur la page Facebook de l’entreprise. Questionnement partagé par nombre de pendulaires, lassés de chasser la moindre place assise dans le convoi qui les amène au travail. L’agacement touche aussi les écoliers du train Genève–La Plaine, contraints de rester à quai faute de pouvoir pénétrer dans des wagons surchargés, si l’on en croit la Tribune de Genève du 19 nove...