Rosé et gamay. L’un comme l’autre font glousser une frange d’œnophiles. Le rosé ne serait bon qu’à colorer les apéros (lire encadré). Le gamay, lui, serait un cépage roturier par la faute de son insoutenable légèreté. Avec des visions aussi réductrices, difficile d’imaginer qu’un rosé produit à base de gamay puisse faire des émules. Et, pourtant, rarement les notes attribuées par nos dégustateurs n’ont été aussi élevées!

Pas moins de cinq des douze vi...