Le Registre national du don d’organes créé par Swisstransplant ne garantit pas suffisamment la confidentialité de ses utilisateurs selon le Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT). Après avoir été mis en veilleuse, au début de l’été, il a été désactivé définitivement le 30 novembre dernier et plus personne n’y a accès. Cela, alors que la nouvelle loi sur le consentement présumé, qui fait de chacun un donneur potentiel, n’entrera pas en vigueur avant 2024. Pour faire connaître ses intentions à ce sujet, le seul moyen est de les consigner par écrit, par le biais d’une carte de donneur, des directives anticipées ou du dossier électronique du patient, s’il est disponible. chr