Après un divorce, Estelle (prénom d’emprunt), en plein désarroi, finit par répondre à une annonce de l’agence matrimoniale «Le Bonheur est au Rendez-vous» (BAS 6/7 2001). Elle se retrouve avec un contrat de trois ans et 3500 fr. à payer. Elle règle 500 fr. tout de suite et contracte un emprunt au taux de 10,75% pour le solde, soit 3000 fr. Un an plus tard, on lui a seulement communiqué les coordonnées de deux partenaires potentiels, lesquels ne lui correspondent pas du tout. El...