Verser chaque mois quelques centaines de francs pour parer au meilleur comme au pire, c’est le principe de l’assurance vie mixte. Une partie de ce montant alimente un compte épargne qui sera remboursé, en cas de survie, à l’échéance du contrat. Le reste alimente une police d’assurance qui couvre la partie risque: si l’assuré décède avant la fin du contrat, les bénéficiaires touchent le capital prévu. En cas d’invalidité, il touche une rente qui complète celle de l’A...