C’est inacceptable», tempête le conseiller national Baptiste Hurni, président de la Fédération suisse des patients. «Alors que les primes maladie ne cessent de prendre l’ascenseur et qu’elles sont censées couvrir les frais administratifs, certains assureurs surtaxent encore les communications téléphoniques.»

Le socialiste neuchâtelois donne l’exemple d’un patient dont la note de téléphone a grimpé de 15 fr. en un mois. «Cette situation est critique pour les m...