«Pendant une semaine après le début du confinement, au printemps dernier, les téléphones n’ont pas sonné du tout», se souvient Myriame Zufferey, directrice de Solidarités femmes Bienne. La prise de conscience est instantanée: la crise sanitaire et, particulièrement, le fait que les gens travaillent à la maison rendent l’accès à l’aide encore plus difficile pour les victimes de violences domestiques, qui passent donc encore plus de temps avec leur partenaire violent. Et, pou...