La révolution date de 2015, mais les applications en ligne ne l’ont intégrée qu’à partir de l’an dernier. L’exploitation des réseaux de neurones artificiels (deep learning) proposée par l’Université de Montréal a, en effet, permis aux traducteurs automatiques de faire un bond qualitatif considérable. Souvenez-vous: lors d’un test que nous avions fait en novembre 2015, le plus célèbre d’entre eux – Google – traduisait:

⇨ texte à traduire:

Ich wollt...