Un petit caillou pointu suffit à stopper net l’enthousiasme du cycliste. Une fois épuisé le répertoire de gros mots, il faudra démonter la roue et colmater la fuite. On trouve, aujourd’hui, trois formules à glisser dans sa sacoche: les rustines traditionnelles, les autocollants et les bombes anticrevaison. Pour les départager, nous en avons confié une douzaine à un laboratoire spécialisé (lire encadré).

Verdict: alors que tous les kits de réparation traditionnels remp...