On sait que les calomniateurs, diffamateurs et autres trolls peuvent être poursuivis pour leurs publications sur les réseaux sociaux (lire«Pas d'impunité sur internet»). Un autre échelon vient d’être franchi: en Suisse, un premier cas d’école prouve que l’on ne peut pas approuver ou propager n’importe quelle information sans être inquiété.

Aimer, c’est approuver

C’e...